Comme promis, je commence la série des recettes de pâtisseries orientales que j’ai testées.
Pas de panique ! Il n’y a rien de vraiment compliqué, cela demande surtout de la patience et de la minutie. Personnellement je trouve ça très amusant à faire ! Et puis ce qui est bien c’est qu’on peut laisser parler ses goûts en remplaçant un fruit sec par un autre ou même les associer, varier les couleurs (les pâtisseries algériennes sont très décorées et hautes en couleur pour le plus grand plaisir des yeux), les formes, les arômes… bref, un amusement avant d’être un régal !
Voici la première recette que j’ai testée. C’est une recette algérienne que j’ai trouvée sur le superbe et très appétissant blog de Minouchka (comme les ¾ de ce que j’ai testé d’ailleurs – un vrai coffre aux trésors ce blog !!!). J’avoue, les miens sont beaucoup moins jolis que ceux de Minouchka mais bon… je suis quand même contente !
Pas de panique ! Il n’y a rien de vraiment compliqué, cela demande surtout de la patience et de la minutie. Personnellement je trouve ça très amusant à faire ! Et puis ce qui est bien c’est qu’on peut laisser parler ses goûts en remplaçant un fruit sec par un autre ou même les associer, varier les couleurs (les pâtisseries algériennes sont très décorées et hautes en couleur pour le plus grand plaisir des yeux), les formes, les arômes… bref, un amusement avant d’être un régal !
Voici la première recette que j’ai testée. C’est une recette algérienne que j’ai trouvée sur le superbe et très appétissant blog de Minouchka (comme les ¾ de ce que j’ai testé d’ailleurs – un vrai coffre aux trésors ce blog !!!). J’avoue, les miens sont beaucoup moins jolis que ceux de Minouchka mais bon… je suis quand même contente !
Ces M'khabez à la pistache sont très parfumés et font vraiment de l’effet grâce à leur beau glaçage coloré (j’ai copié, moi aussi j’ai pris du vert).
Le glaçage a la bonne consistance s’il adhère bien au biscuit et ne coule pas trop c’est-à-dire qu’on ne doit pas apercevoir le biscuit en dessous lorsque le glaçage s’écoule, il doit rester opaque. Il doit être épais mais couler quand même de la cuillère…
Poser un perle argentée ou une demie pistache (ou n’importe quelle déco de son choix) sur le dessus du biscuit glacé et placer sur une plaque recouverte de papier alu.
Laisser durcir le glaçage puis placer les M’Khabez dans des caissettes en papier.
Et surtout, régalez-vous ![*] Il ne s’agit pas ici des mesures américaines les « cups » mais d’une vraie tasse, le contenant que j’ai choisi pour mesurer mes ingrédients.
Le glaçage a la bonne consistance s’il adhère bien au biscuit et ne coule pas trop c’est-à-dire qu’on ne doit pas apercevoir le biscuit en dessous lorsque le glaçage s’écoule, il doit rester opaque. Il doit être épais mais couler quand même de la cuillère…
En voici la recette telle que je l’ai faite :
Comme pour toutes les recettes qui vont suivre, j’ai utilisé des fruits secs entiers que j’ai réduits moi-même en poudre, l’arôme n’en est que meilleur !
Pour ce qui est des mesures, j’ai choisi une petite tasse à café avec laquelle j’ai mesuré tous mes ingrédients. Les recettes de pâtisserie orientale sont toujours (ou presque) exprimées en mesures, ce qui signifie que l’on mesure la quantité d’ingrédients grâce à un contenant tel qu’une tasse, un bol, un verre, au choix, l’important étant d’utiliser le même pour mesurer tous les ingrédients d’une même recette, c’est une histoire de proportions… A vous donc de choisir vos mesures.
Biscuits :2 tasses[*] de pistaches en poudre
1 tasse d’amandes en poudre
2 tasses de sucre glace
Vanille
Zeste de citron (je n’en avais pas sous la main, dommage ça développe l’arôme de la pistache)
1 à 3 blancs d’œufs (quantité à apprécier selon la quantité des autres ingrédients).
Mélanger les poudres d’amandes et de pistaches, le sucre glace, et les parfums ensemble puis ajouter le blanc d’œuf petit à petit en mélangeant bien à chaque fois pour évaluer la consistance de la pâte. Celle-ci doit être maniable et « facilement façonnable », un peu collante mais pas trop. Elle ne doit ni s’effriter ni s’affaisser.
Diviser la pâte et former 2 ou plusieurs boules et les façonner en longs boudins (pas trop épais afin d’obtenir des pièces assez petites) et les aplatir très légèrement.
Couper ces boudins en zig-zags /\/\/\/\ afin d’obtenir des petits triangles.
Enfourner ces biscuits pendant 10 à 12 minutes à 160° C (four préchauffé). Attention à bien les surveiller pour qu’ils ne dorent quasiment pas et restent bien moelleux.
Sortir du four et laisser refroidir.
Pendant ce temps, préparer le glaçage :
Normalement, la recette que Minouchka propose préconise d’utiliser 2 blancs d’œufs montés en neige pour 500 à 600 g de sucre glace. A ce niveau j’ai fait une petite erreur car j’ai oublié de monter les blancs en neige (ce qui vaut peut-être à mes M’Khabez d’être moins brillants que ceux de Minouchka (?)) et ai utilisé les proportions suivantes :
35 g de blanc d’œuf pour 175 g de sucre glace
Bien mélanger les ingrédients et éventuellement le colorant et y plonger les biscuits refroidi (la face du dessus et les côté, pas le dessous) en enrobant bien.
Comme pour toutes les recettes qui vont suivre, j’ai utilisé des fruits secs entiers que j’ai réduits moi-même en poudre, l’arôme n’en est que meilleur !
Pour ce qui est des mesures, j’ai choisi une petite tasse à café avec laquelle j’ai mesuré tous mes ingrédients. Les recettes de pâtisserie orientale sont toujours (ou presque) exprimées en mesures, ce qui signifie que l’on mesure la quantité d’ingrédients grâce à un contenant tel qu’une tasse, un bol, un verre, au choix, l’important étant d’utiliser le même pour mesurer tous les ingrédients d’une même recette, c’est une histoire de proportions… A vous donc de choisir vos mesures.
Biscuits :2 tasses[*] de pistaches en poudre
1 tasse d’amandes en poudre
2 tasses de sucre glace
Vanille
Zeste de citron (je n’en avais pas sous la main, dommage ça développe l’arôme de la pistache)
1 à 3 blancs d’œufs (quantité à apprécier selon la quantité des autres ingrédients).
Mélanger les poudres d’amandes et de pistaches, le sucre glace, et les parfums ensemble puis ajouter le blanc d’œuf petit à petit en mélangeant bien à chaque fois pour évaluer la consistance de la pâte. Celle-ci doit être maniable et « facilement façonnable », un peu collante mais pas trop. Elle ne doit ni s’effriter ni s’affaisser.
Diviser la pâte et former 2 ou plusieurs boules et les façonner en longs boudins (pas trop épais afin d’obtenir des pièces assez petites) et les aplatir très légèrement.
Couper ces boudins en zig-zags /\/\/\/\ afin d’obtenir des petits triangles.
Enfourner ces biscuits pendant 10 à 12 minutes à 160° C (four préchauffé). Attention à bien les surveiller pour qu’ils ne dorent quasiment pas et restent bien moelleux.
Sortir du four et laisser refroidir.
Pendant ce temps, préparer le glaçage :
Normalement, la recette que Minouchka propose préconise d’utiliser 2 blancs d’œufs montés en neige pour 500 à 600 g de sucre glace. A ce niveau j’ai fait une petite erreur car j’ai oublié de monter les blancs en neige (ce qui vaut peut-être à mes M’Khabez d’être moins brillants que ceux de Minouchka (?)) et ai utilisé les proportions suivantes :
35 g de blanc d’œuf pour 175 g de sucre glace
Bien mélanger les ingrédients et éventuellement le colorant et y plonger les biscuits refroidi (la face du dessus et les côté, pas le dessous) en enrobant bien.
Poser un perle argentée ou une demie pistache (ou n’importe quelle déco de son choix) sur le dessus du biscuit glacé et placer sur une plaque recouverte de papier alu.
Laisser durcir le glaçage puis placer les M’Khabez dans des caissettes en papier.
Et surtout, régalez-vous ![*] Il ne s’agit pas ici des mesures américaines les « cups » mais d’une vraie tasse, le contenant que j’ai choisi pour mesurer mes ingrédients.